Res-Publica
Nous avons pu voir hier soir une merveilleuse interview de notre président bien-aimé.
Un grand homme.
Questionné par un pot de fleur, le vieux n'a pas tangué, il a suivi sa feuille de route, la donzelle avait les jambes ouvertes pourtant.
L'assise voluptueuse de ceux qui n'ont rien à craindre.
Une bien belle image de ce que nous sommes ; ceux qui portent l'étendard d'une morte.
Et vous savez bien que les morts nous leur devons respect.
A nos victoires anciennes aussi, si tant est qu'elles aient été.
Pas la peine de tourner autour du pot pour Laurent Fabius, le sang contaminé, c'était quoi déja?
Et toi Jacques, tes millions au Japon?
Et cher Nicolas, tes parrains sont muets.
Oh pouvoir!
Oh gloriole toute puissante.
Nous regardons tous le spectacle.
Soulagés de leur outrecuidance, puisqu'elle est tellement nôtre.
De là à s'autoriser autre chose, il y a un pas que nous n'oserons pas...
Zidane ou pas?
This is the question.
Prendre les mêmes et recommencer au risque de gagner, mais quoi?