M'internet?
Comment rendre ce Blog intéressant, juste pour montrer le chemin de l'écriture publique dans un chenal non balisé.
L'UMP fait entrer les femmes dans l'Agora.
Avec en exergue un post délicieux sur les tribulations, non pas d'un chinois en Chine, mais d'une femme à trois vies.
Laquelle pense avant tout "que cela suppose un mari conciliant".
Les femmes conciliantes ça existe aussi, il n'y a qu'à regarder Bernadette, les pas conciliantes aussi si l'on songe à Cécilia.
Le résultat est le même, la femme ne fait pas l'homme.
Il est révolu le temps où il fallait être un couple en politique.
Toutefois il est souhaitable de rester dans un certain cadre qui est celui de l'acceptable.
Par exemple.
Je l'aimais bien Delanoë, le maire de Paris, il pouvait faire des Paris-plage, des couloirs de bus, des rues qu'on ne sait plus comment traverser, des nuits blanches, se prendre des coups de couteaux, je le trouvais marrant.
Mais par mégarde j'ai vu un reportage sur lui dans lequel des caméras le suivaient au cours d'une ballade sur l'esplanade de l'Hotel de ville, et j'ai entendu une phrase proferée par lui qui me reste en mémoire.
Il a dit à une femme qui se plaignait du manque de moyens dans les crèches parisiennes:
Calme-toi ma chérie!
Il se croyait où?
Filmé dans une émission de télé réalité présentée par Vincent Macdoom?
Paris est une ville dans laquelle des gens vivent, aussi.
Ils ne passent pas leur temps dans des théatres ou au cinéma, à faire la queue pour être bousculés dans des Musées.
Ils ont des enfants à qui ils ne peuvent pas offrir une chambre même si ils gagnent plutôt bien leur vie, qui vont dans des écoles dans lesquelles les moyens manquent cruellement, pour faire des études qui ne serviront à rien.
Mais c'est une autre histoire.
Si Paris veut devenir New York pourquoi pas.
Mais moi je n'ai pas envie que ce pays entier devienne ce que les Etats-Unis sont devenus, les branchés d'un côté et les veaux de l'autre se vouant une haine éternelle.
Donc c'est bien, Françoise de Panafieu sera la prochaine maire.
Et cette évolution me convient.
Des femmes qui n'ont pas trois vies mais une seule, comme nous tous.